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Long et passionnant, Soul Sacrifice m’a réconcilié avec la portable de Sony…

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Bruce Grannec, alias Spank, vous propose ses conseils pour progresser à FIFA 13…

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Le moins qu’on puisse dire, c’est que Killzone : Mercenary poutre violemment la gueule…

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  • Killzone : Mercenary se montre en vidéo sur PS Vita

    Impressionnant, n’est ce pas ? Surtout pour de la PS VITA je trouve ! Bon, il faudra bien sur juger sur pièces mais ce trailer m’a fait une bonne impression…

    Et Dieu sait qu’il est difficile de me faire une première bonne impression sur un FPS.

    Si graphiquement le jeu se pose là, l’histoire devrait tourner autour d’un certain Arran Danner, ancien soldat UCA ayant un gros penchant pour l’argent, mercenaire oblige, qui verra sa vie, et celle de l’humanité, bouleversée au cours d’une mission de routine. Normal…

    Le jeu sera composé de missions à remplir en solo, neuf pour être précis, et d’un multijoueurs ou il faudra tout faire péter à coup de guns ! Au vue de la vidéo, il devrait y avoir pas mal d’interactions avec le tactile de la console, notamment pour les exécutions.

    Prévu pour le 18 septembre 2013, Killzone: Mercenary sera une exclusif à notre petite PS VITA. On a donc encore le temps de voir venir mais il s’affirme déjà comme un futur hit… Un jeu à surveiller comme le lait sur le feu !

  • Mes impressions sur PlayStation All-Stars Battle Royale

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    Pour faire simple, PlayStation All-Stars Battle Royale, c’est vingt des plus grandes stars de l’univers Sony Playstation qui s’affrontent dans des arènes évolutives dans le but de récolter le plus de points en mettant dehors les adversaires.

    Si le concept est déjà bien rôdé du côté de chez Nintendo (Super Smash Bros.), PlayStation All-Stars Battle Royale se pose tout simplement comme la version Sony des jeux du type Battle Royale en proposant un gameplay à la fois similaire dans son approche mais divergeant dans la réalisation…

    La réalisation

    Si la beauté du jeu en lui-même est assez relative, les environnements dans lesquels on évolue sont pour le coup colorés, très diversifiés et évoluent tout au long des joutes.

    On se retrouve donc assez vite à lutter contre ses adversaires, mais aussi contre l’environnement qui se désagrège vous obligeant parfois à vous élever dans les airs ou à fuir vers une plateforme plus solide.

    Les storyboards de chaque scène étant assez intéressants, ils apportent un vrai plus à l’expérience notamment à quatre joueurs ou ces phases obligent les joueurs à se mettre sur la gueule dans des zones de jeu de plus en plus petites.

    Ajoutez à cela des effets et une bande son sympa et vous arrivez à un ensemble cohérent pour ce type de jeu.

    Le gameplay

    Pour le coup, on note un vrai changement par rapport à Super Smash Bros. Ici, pas besoin de faire monter au maximum la jauge de vie de son ennemi pour le fragiliser et le faire sortir du jeu. Le plus important dans PlayStation All-Stars Battle Royale, ce sont les jauges de « Super ».

    Au nombre de trois (de la plus simple à la plus dévastatrice), la « Super » représente l’attaque ultime du personnage et la seule qui peut éliminer un adversaire. Pas d’éliminations sans super donc !

    Sachant que la barre augmente en enchaînant les combos et en choppant des items, frapper pour frapper ne sert à rien. Il faut plutôt chercher à optimiser ses actions pour avoir sa « Super » avant les autres et si possible celle de niveau trois qui assure quasiment à 100% l’éjection. Et c’est celui qui a le plus de points à la fin du round (mourir vous en fait perdre un au passage) qui gagne.

    Libre à vous donc de baser votre jeu, comme moi, sur une succession de « Super » de niveau un qui élimine généralement qu’un joueur ou plutôt sur de la « Super » de niveau trois qui peut mettre hors-jeu plusieurs joueurs d’un coup.

    La durée de vie

    Comme pour Nintendo Land et Sports Champions 2 que j’ai testé ces dernières semaines, le jeu devient vraiment intéressant à plusieurs.

    En effet, une fois le mode solo terminé pour chacun des vingt personnages (pas spécialement folichon au passage – succession de combats), et pour peu que vous vous foutez des items à collectionner, il n’y a pas grand-chose à faire.

    À l’inverse, à plusieurs, on atteint le nectar du jeu avec des combats qui gagnent immédiatement en intensité (le CPU est un peu léger…) et en fun.

    Le Cross-Play en action

    Petite innovation entre les deux versions sur PS VITA et PS3, l’apparition du Cross-Play. Même si le jeu est un poil moins fin sur PS VITA (mais le reste est en tout point identique avec mêmes quelques éléments de gameplay en plus via le tactile), les interactions entre les consoles fonctionnaient correctement jusqu’à la mise à jour 1.02 qui a un peu tout fait péter…

    Heureusement pour nous, on a eu la chance d’y jouer avant et on a donc pu profiter de tout cela avant d’être touché par les bugs.

    Mes impressions sur PlayStation All-Stars Battle Royale

    Même si Power Stone reste pour moi le must du jeu de baston à plusieurs, on ne peut que souligner le bon travail réalisé par Sony sur PlayStation All-Stars Battle Royale avec notamment le parti pris de créer son propre système de points. Il ne plaira sans doute pas à tous mais j’ai pour ma part apprécié le côté tactique et un peu moins bourrin que j’ai pu retrouver, à mon niveau, sur Super Smash Bros.

    Si un peu plus de personnages n’aurait pas été du luxe (20, ça fait un peu chiche quand même), le jeu fait le boulot en proposant un gameplay nerveux, fun et qui propose tout de même quelques subtilités sur la longueur histoire d’éviter de s’ennuyer.

    Un jeu à jouer à plusieurs sur Playstation 3 qui peut se révéler agréable en solo sur PS VITA pour faire des parties rapides dans les transports en commun.

    Pour les personnes intéressées, privilégiez la version PS3 puisque la version PS VITA est offerte (via Cross Buy) à l’achat. Ce qui n’est pas le cas dans l’autre sens…

  • Mes impressions sur Nintendo Land – Wii U

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    Premier jeu qu’on a inséré dans notre Nintendo Wii U lors de notre soirée découverte et déballage, on a d’abord vu en Nintendo Land une démonstration technique de la console mais surtout du Gamepad.

    Et puis, les potes arrivant, le nombre de joueurs augmentant, le jeu a révélé sans qu’on y fasse attention sa véritable valeur…

    La réalisation

    Soyons clair, Nintendo n’a jamais eu l’ambition de venir sur les plates-bandes des jeux réalistes qui font le bonheur des joueurs PS3 et XBOX 360 mais a toujours pris soin de soigner l’univers des jeux.

    Nintendo Land ne déroge naturellement pas à cette idée. Le jeu est très coloré, les mini-jeux sont tous tirés d’un univers Nintendo (Zelda, Metroid, F-Zero, etc.) avec des environnements très familiaux notamment la grande place réunissant tous les jeux. On est dans le ton et c’est une bonne chose.

    Le gameplay

    J’aurai pu remplacer « Le gameplay » par « Le Gamepad » vu que le jeu est clairement fait pour la nouvelle manette de Nintendo. Heureusement, Nintendo n’a pas fait de Nintendo Land qu’une demo technique dédiée au Gamepad. Le Gamepad est plus mis à contribution qu’inversement et décuple vraiment les sensations de jeu quand on l’a dans les mains.

    On prend donc beaucoup de plaisir à se cacher du champ de vision de ses petits camarades dans Mario Chase, à essayer de les chopper dans Luigi’s Ghost Mansion et à les trouver dans Animal Crossing avec l’écran du Gamepad. Les autres joueurs devant lutter ou vous aider, selon que vous êtes en affrontement ou en coopération, à la Wiimote.

    Le fun est donc vraiment bien présent et il devient vite difficile de lâcher le Gamepad. Nintendo a d’ailleurs pensé à tout puisqu’il est très simple de se passer le Gamepad. En proposant de changer d’avatar et donc d’utilisateur à chaque début de partie, les parties s’enchaînent vite et bien. Plus que les menus qui malheureusement sont assez lent…

    Des mini-jeux pour tous

    Avec douze mini-jeux, Nintendo Land en propose pour tout le monde même si tous ne valent pas le coup. Il y a du très bon comme Mario Chase, Luigi’s Ghost Mansion, Animal Crossing ou encore Donkey Kong mais aussi des jeux un peu plus pauvre comme F-Zero ou The Legend of Zelda: Battle Quest.

    En gros, chaque mini-jeu a son propre gameplay (assez simple) avec de la course, du bomberman, du jet de shurikens, etc et sont tous jouables avec le Gamepad en solo. Cependant, ils font appels aux Wiimotes dès qu’on veut jouer à plusieurs.

    J’espère juste qu’à l’avenir, Nintendo fera l’effort d’apporter des nouveaux plateaux pour allonger la durée de vie. Si en plus, cela peut se faire gratuitement, cela le ferait !

    Mes impressions sur Nintendo Land

    Je n’irai pas juste qu’à dire que Nintendo Land m’a fait changer d’avis sur la Wii U mais presque. Même si je suis conscient d’avoir pu le tester dans des conditions optimums, c’est à dire à cinq joueurs avec un grand écran, je ne peux pas nier que je me suis vraiment éclaté sur les mini-jeux dédiés à cinq joueurs comme Mario Chase et Animal Crossing qui sont à la fois très simple à comprendre mais terriblement fun.

    Seul, à l’inverse, on tourne très rapidement en rond. Ce qui est relativement normal pour un Party Game…

    Alors bon, faut-il l’acheter ? Si vous faites régulièrement des soirées avec quelques potes, la question ne se pose pas, c’est clairement oui. Si vous êtes seul, cela se discute. Il y a effectivement un peu de challenge, de la rejouabilité, mais c’est très limite.

    Après, dans les deux cas, c’est un bon jeu, pas de doutes la dessus. C’est le nombre d’amis/joueurs que vous avez qui fera de Nintendo Land un bon ou un très bon jeu.

  • Mes impressions sur Sports Champions 2 sur PS3

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    Suite directe de Sports Champions sorti pour faire la promotion du PS MOVE il y a maintenant deux ans, Sports Champions 2 nous a permis le temps d’un week-end de ressortir l’accessoire de Sony pour faire du sport après avoir lézardé tranquillement (et avec des chips) devant Wonderbook : Book of Spells.

    Avec six sports, allant du bowling au ski, Sports Champions 2 vous propose donc bouger un peu chez vous devant votre écran, au chaud, et de vous amusez entre amis, de préférence.

    La réalisation

    Dans la même veine que Sports Champions premier du nom, Sports Champions 2 fait l’effort d’être dans le ton des jeux du moment sans pour autant réussir à bluffer. Le jeu est d’ailleurs un peu moins coloré que son prédécesseur même si, heureusement, les différents paysages présents pour chaque discipline sont soignés.

    Par contre, les spectateurs autour des épreuves piquent un peu les yeux. Bon, on s’en fout un peu puisqu’on a rarement les yeux sur eux, trop occupé sur son personnage mais quand même.

    Le Gameplay

    Comparé au premier, on ne peut que saluer les efforts réalisés sur le calibrage et la retranscription des mouvements à l’écran. Le PS MOVE réagit vraiment bien et on n’est plus embêté par certaines approximations qui pouvaient se révéler assez frustrantes.

    Avec six sports que sont la boxe, le golf, le tennis, le ski, le tir à l’arc et le bowling, Sports Champions a abandonné en route les sports funs qu’étaient le Frisbee et le combat de gladiateurs.

    La boxe qui remplace les gladiateurs est d’ailleurs très agréable à jouer, pour peu que vous ayez deux PS MOVE (un pour chaque main). Il y a pas mal de possibilités à l’esquive et à la frappe ce qui amène un peu plus de profondeur à ce mini-jeu qu’aux autres.

    Un niveau en dessous, on retrouve donc le golf, le tennis, le bowling et le tir à l’arc. Le golf remplace donc le Frisbee (qui était vraiment sympa) avec réussite en tirant partie des efforts réalisés sur la reconnaissance des mouvements. Le bowling et le tennis font une entrée remarquée pour peu qu’on soit plusieurs à jouer et le tir à l’arc reste identique au premier opus.

    Seul mini-jeu raté, le ski paye cruellement son manque d’impressions de vitesse. C’est précis mais tellement lent qu’il n’y a pas vraiment de challenge. En même temps, je crois qu’aucune épreuve de ski n’a jamais été réussie ces dernières années…

    La durée de vie

    Là ou le bas blesse tout naturellement surtout en solo. Si à plusieurs le jeu se suffit à lui même, on fait très rapidement le tour des six épreuves et on n’a pas forcement l’envie de les refaire, à moins d’être fan d’un de ces sports.

    Mes impressions sur Sports Champions

    Avec la précision accrue du PS MOVE, Sports Champions 2 prend tout naturellement et sans difficulté la relève du premier Sports Champion en gardant malheureusement le manque de profondeur qui touchait déjà son prédécesseur.

    À plusieurs pour se détendre et rigoler ? Oui, clairement – Tout seul pour se défouler ? Cela ne vaut sans doute pas le coup !

  • Mes impressions sur Wonderbook : Book of Spells – PS3

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    Tout droit issu de l’imaginaire JK Rowling et des avancées technologies de Sony, Wonderbook : Book of Spells, le livre des sorts joue à fond la carte de la nouveauté en adoptant la réalité augmentée sur fond d’Harry Potter.

    Destiné principalement aux enfants, Wonderbook : Book of Spells vous met donc dans la peau d’un apprenti sorcier qui débarque à l’école de Poudlard en première année. Le but du jeu est assez simple, vous allez devoir à l’aide du PS MOVE et du Playstation Eye apprendre l’ensemble des sortilèges de l’univers d’Harry Potter présent dans le livre des sorts. Le rêve pour tous les fans d’Harry Potter…

    La réalisation

    Une fois que votre PS MOVE s’est transformé en baguette magique et que le livre s’est changé en Grimoire, on s’y croit vraiment. Les différents environnements du jeu sont vraiment soignés notamment celui de la salle de classe qui semble directement tiré du film.

    Les effets magiques sortant de votre baguette aux moindres mouvements réussis sont aussi très bien foutus. Cela fait d’ailleurs plaisir de voir l’univers d’Harry Potter mis en valeur, surtout après plusieurs jeux assez moyens…

    Le Gameplay

    Malgré un petit manque de précision avec la baguette, euh le PS MOVE, lors du lancement d’un sort, le jeu est très simple à prendre en main. Vous réalisez chaque sort avec un mouvement défini et vous tournez les pages du livre pour avancer dans les chapitres jusqu’à ce que vous maîtrisiez tous les sorts.

    Chose assez aisée pour un adulte puisque le jeu permet pas mal de choses et facilite grandement le cheminement, ce qui n’est pas plus mal pour un jeu qui se destine surtout à des joueurs de six à douze ans. Il se découpe d’ailleurs en cinq grands chapitres composé de plusieurs tableaux à faire, de sorts à apprendre et d’un boss à défaire.

    La durée de vie

    Pour un adulte, il ne faudra pas plus de quatre heures pour le terminer et sans doute ne plus jamais y revenir. Ce qui ne sera certainement pas le cas à mon avis d’un enfant fan ou pas d’Harry Potter.

    Rien que l’interactivité devrait pouvoir lui faire passer plusieurs heures dessus et dans les couloirs de Poudlard.

    Mes impressions sur Wonderbook : Book of Spells

    Pour un adulte, Wonderbook : Book of Spells représente avant tout une avancée technologique et une nouvelle manière de jouer sur console à laquelle on pardonne les petites imprécisions. Pour un enfant, c’est à mon avis un cadeau parfait pour Noël.

    Il y a de quoi s’amuser, rigoler (les voix du jeu sont vraiment prenantes) et pourquoi pas l’intéresser par ce biais à un univers fantastique. Une vrai bonne façon de lier l’imagination et le jeu vidéo…

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