Impressions

Mes impressions sur Trials Evolution : Riders of Doom – Express

Consoles, Impressions, XBOX360

Sorti peu avant les fêtes, le second DLC de Trials Evolution, nommé Riders of Doom pour l’occasion, a enfin pu tourner sur ma XBOX 360. Que ce soit en solo comme en multijoueurs, la magie agit toujours même si clairement, il n’y a plus de place pour les débutants…

Franchement, c’est chaud…

J’avais annoncé, c’est un test express…

Plus sérieusement, comme le précédent DLC, Riders Of Doom apporte son lot de nouveautés mais surtout relève incroyablement le niveau de difficulté. Ne me considérant pas comme mauvais à Trials, j’ai vraiment lutté pour finir certaines courses… Et je ne parle même pas de les avoir en Or, ni en platine…

Malgré tout, c’est un indispensable pour tous les fans et pour ceux qui jouent à plusieurs avec l’ajout de nouvelles courses tout aussi dynamiques que celles déjà existantes.

Mes impressions sur Medal Of Honor Warfighter – PS3

Impressions, News, PS3

Reçu il y a quelques semaines de la part d’EA en compagnie de Need For Speed Most Wanted, Medal Of Honor Warfighter s’annonçait pas mal.

Un moteur qui en a, le Frostbite 2 pour ne pas le citer, un parti pris grand spectacle assumé et revendiqué, un multijoueurs censé permettre des compétitions, etc… Et en fait, non.

Pourquoi non ? Pour plein de choses malheureusement…

La réalisation

C’est le seul point positif à mes yeux et il vient malheureusement en premier dans mes impressions…

Effectivement, il n’y a pas grand beaucoup de choses à reprocher graphiquement à ce Medal Of Honor Warfighter. Le moteur Frostbite 2 montre de belles choses avec notamment un soin tout particulier apporté aux différents environnements (pays) qu’on visite arme à la main.

C’est beau donc, voir très beau même pour de la PS3. Le jeu de lumières, les effets visuels, tout ça, c’est bien mais ça ne fait pas un bon jeu…

Le Gameplay

Mise à part l’arrivée des poursuites, pas très prenantes d’ailleurs, il n’y a strictement rien à se mettre sous la dent. Pire même, ils ont tenté d’ajouter des interactions comme la possibilité de casser ou pas une porte pour poursuivre l’aventure. Le truc, c’est que ça ne change strictement rien du tout. On dirait l’idée d’un stagiaire qu’ils ont implanté pour dire, oui, on peut casser des portes…

S’il n’y a pas grand chose à dire sur la jouabilité, l’IA générale du jeu, que ce soit partenaires ou adversaires, est vraiment à la ramasse. Vos collègues ont tendance à se bloquer contre les murs tandis que vos adversaires ont eux la particularité de se jeter limite sous vos balles.

C’est limite au final si j’ai pas plus flippé de voir un partenaire ralentir ma partie que la difficulté. Chaud pour un jeu d’action…

La durée de vie

En ligne droite, et en fait vous n’avez pas le choix… donc, je disais, en ligne droite, il y en a pour trois à quatre heures de jeu. On passe de pays en pays à la recherche d’un groupe de terroristes comme si on jouait à Carmen San Diego…

En plus de ça, l’histoire n’est vraiment pas claire du tout et on se perd très facilement et très rapidement dans les explications sur les revendications des grands méchants. Bon, cela n’a jamais été un point important dans Medal Of Honor mais quand même.

Le Online

Même si je ne suis pas spécialement un joueur en ligne, j’ai quand même pris la peine de faire quelques parties en me disant que peut être, le multijoueurs allait allonger la profondeur du jeu.

Le problème, c’est avec seulement huit petites cartes et des modes de jeu assez communs, on fait très vite le tour. De plus, jeu en ligne oblige, les textures prennent logiquement un gros coup de moins bien ce qui supprime le seul truc bien du jeu. Un comble…

Mes impressions sur Medal Of Honor Warfighter

C’est moyen, et encore… Même si le jeu est très joli pour de la Playstation 3, j’ai eu l’impression pendant les trois heures de jeu en solo (gloup) que les développeurs ont d’abord pensé à mettre en avant le moteur du jeu avant de penser au jeu.

Je ne vais pas aller jusqu’à dire que je me suis ennuyé mais presque. Pas de suspens ou très peu, on avance, on défonce tout ce qui dépasse des murets, on prie pour ne pas être victime d’un bug et on passe au niveau suivant. That’s all !

Clairement pas le jeu de l’année, surtout en face de Call Of Duty Black Ops 2…

Mes impressions sur Wonderbook : Book of Spells – PS3

Impressions, PS3

Tout droit issu de l’imaginaire JK Rowling et des avancées technologies de Sony, Wonderbook : Book of Spells, le livre des sorts joue à fond la carte de la nouveauté en adoptant la réalité augmentée sur fond d’Harry Potter.

Destiné principalement aux enfants, Wonderbook : Book of Spells vous met donc dans la peau d’un apprenti sorcier qui débarque à l’école de Poudlard en première année. Le but du jeu est assez simple, vous allez devoir à l’aide du PS MOVE et du Playstation Eye apprendre l’ensemble des sortilèges de l’univers d’Harry Potter présent dans le livre des sorts. Le rêve pour tous les fans d’Harry Potter…

La réalisation

Une fois que votre PS MOVE s’est transformé en baguette magique et que le livre s’est changé en Grimoire, on s’y croit vraiment. Les différents environnements du jeu sont vraiment soignés notamment celui de la salle de classe qui semble directement tiré du film.

Les effets magiques sortant de votre baguette aux moindres mouvements réussis sont aussi très bien foutus. Cela fait d’ailleurs plaisir de voir l’univers d’Harry Potter mis en valeur, surtout après plusieurs jeux assez moyens…

Le Gameplay

Malgré un petit manque de précision avec la baguette, euh le PS MOVE, lors du lancement d’un sort, le jeu est très simple à prendre en main. Vous réalisez chaque sort avec un mouvement défini et vous tournez les pages du livre pour avancer dans les chapitres jusqu’à ce que vous maîtrisiez tous les sorts.

Chose assez aisée pour un adulte puisque le jeu permet pas mal de choses et facilite grandement le cheminement, ce qui n’est pas plus mal pour un jeu qui se destine surtout à des joueurs de six à douze ans. Il se découpe d’ailleurs en cinq grands chapitres composé de plusieurs tableaux à faire, de sorts à apprendre et d’un boss à défaire.

La durée de vie

Pour un adulte, il ne faudra pas plus de quatre heures pour le terminer et sans doute ne plus jamais y revenir. Ce qui ne sera certainement pas le cas à mon avis d’un enfant fan ou pas d’Harry Potter.

Rien que l’interactivité devrait pouvoir lui faire passer plusieurs heures dessus et dans les couloirs de Poudlard.

Mes impressions sur Wonderbook : Book of Spells

Pour un adulte, Wonderbook : Book of Spells représente avant tout une avancée technologique et une nouvelle manière de jouer sur console à laquelle on pardonne les petites imprécisions. Pour un enfant, c’est à mon avis un cadeau parfait pour Noël.

Il y a de quoi s’amuser, rigoler (les voix du jeu sont vraiment prenantes) et pourquoi pas l’intéresser par ce biais à un univers fantastique. Une vrai bonne façon de lier l’imagination et le jeu vidéo…

Mes impressions sur Sports Champions 2 sur PS3

Impressions, PS3

Suite directe de Sports Champions sorti pour faire la promotion du PS MOVE il y a maintenant deux ans, Sports Champions 2 nous a permis le temps d’un week-end de ressortir l’accessoire de Sony pour faire du sport après avoir lézardé tranquillement (et avec des chips) devant Wonderbook : Book of Spells.

Avec six sports, allant du bowling au ski, Sports Champions 2 vous propose donc bouger un peu chez vous devant votre écran, au chaud, et de vous amusez entre amis, de préférence.

La réalisation

Dans la même veine que Sports Champions premier du nom, Sports Champions 2 fait l’effort d’être dans le ton des jeux du moment sans pour autant réussir à bluffer. Le jeu est d’ailleurs un peu moins coloré que son prédécesseur même si, heureusement, les différents paysages présents pour chaque discipline sont soignés.

Par contre, les spectateurs autour des épreuves piquent un peu les yeux. Bon, on s’en fout un peu puisqu’on a rarement les yeux sur eux, trop occupé sur son personnage mais quand même.

Le Gameplay

Comparé au premier, on ne peut que saluer les efforts réalisés sur le calibrage et la retranscription des mouvements à l’écran. Le PS MOVE réagit vraiment bien et on n’est plus embêté par certaines approximations qui pouvaient se révéler assez frustrantes.

Avec six sports que sont la boxe, le golf, le tennis, le ski, le tir à l’arc et le bowling, Sports Champions a abandonné en route les sports funs qu’étaient le Frisbee et le combat de gladiateurs.

La boxe qui remplace les gladiateurs est d’ailleurs très agréable à jouer, pour peu que vous ayez deux PS MOVE (un pour chaque main). Il y a pas mal de possibilités à l’esquive et à la frappe ce qui amène un peu plus de profondeur à ce mini-jeu qu’aux autres.

Un niveau en dessous, on retrouve donc le golf, le tennis, le bowling et le tir à l’arc. Le golf remplace donc le Frisbee (qui était vraiment sympa) avec réussite en tirant partie des efforts réalisés sur la reconnaissance des mouvements. Le bowling et le tennis font une entrée remarquée pour peu qu’on soit plusieurs à jouer et le tir à l’arc reste identique au premier opus.

Seul mini-jeu raté, le ski paye cruellement son manque d’impressions de vitesse. C’est précis mais tellement lent qu’il n’y a pas vraiment de challenge. En même temps, je crois qu’aucune épreuve de ski n’a jamais été réussie ces dernières années…

La durée de vie

Là ou le bas blesse tout naturellement surtout en solo. Si à plusieurs le jeu se suffit à lui même, on fait très rapidement le tour des six épreuves et on n’a pas forcement l’envie de les refaire, à moins d’être fan d’un de ces sports.

Mes impressions sur Sports Champions

Avec la précision accrue du PS MOVE, Sports Champions 2 prend tout naturellement et sans difficulté la relève du premier Sports Champion en gardant malheureusement le manque de profondeur qui touchait déjà son prédécesseur.

À plusieurs pour se détendre et rigoler ? Oui, clairement – Tout seul pour se défouler ? Cela ne vaut sans doute pas le coup !

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